Je me sens d'autant plus libre d'exprimer mon avis que j'ai toujours été passionné par les loups.
Il est aisé d'en faire un "bouc émissaire" MAIS la réalité est toujours plus forte que le rêve d'une nature à la Jean-Jacques Rousseau et la fable de Jean de la Fontaine est toujours d'actualité ! Le loup et l'agneau ne peuvent cotoyer.
Nous ne sommes pas dans les vastes étendues russes, canadiennes ou américaines mais dans des régions habitées et équipées de domaines skiables.
La faute repose sur celles et ceux qui, bien loin de la vie montagnarde, dans le confort des grandes villes ont la nostalgie du loup, de l'ours et si ceux-ci étaient encore une espèce protégée de superbes dinosaures....Alors on crèe de belles lois....protection des loups...obligation aux bergers d'avoir des chiens qui malheureusement ont une certaine propension à protéger les moutons qui leur sont confiés....et qui parfois ont la dent dure sur les randonneurs de nos montagnes...
En conséquent il faut choisir : soit le loup libre de repeupler nos montagnes mais aussi de nombreuses espèces aptes à le nourrir...autrement il descendra toujours plus bas pour se sustenter et je ne pense pas que les habitants de nos villages (je ne parle pas des touristes) apprécieront d'entendre leur hululement le soir au fond des bois. Il faudra alors prendre conscience que nos amis randonneurs hésiteront sûrement à se promener dans nos massifs alpins de peur de croiser une meute de loups....à moins de les faire accompagner par les bergers reconvertis ainsi que leurs chiens patous.
Plus sérieusement si les moutons disparaissent que deviendront nos alpages ? Il ne faudra pas se lamenter sur une nature en friche !
La responsabilité incombe aux hommes et il est bien que nos élus aient pris hier une position claire et ferme. Espérons simplement que nos responsables nationaux en prennent aussi conscience et que les avocats maîtrisent leur verbe afin d'éviter que le 27 novembre (jour, je crois, de la décision judiciaire) notre ville redevienne la capitale du mouton !
Il est aisé d'en faire un "bouc émissaire" MAIS la réalité est toujours plus forte que le rêve d'une nature à la Jean-Jacques Rousseau et la fable de Jean de la Fontaine est toujours d'actualité ! Le loup et l'agneau ne peuvent cotoyer.
Nous ne sommes pas dans les vastes étendues russes, canadiennes ou américaines mais dans des régions habitées et équipées de domaines skiables.
La faute repose sur celles et ceux qui, bien loin de la vie montagnarde, dans le confort des grandes villes ont la nostalgie du loup, de l'ours et si ceux-ci étaient encore une espèce protégée de superbes dinosaures....Alors on crèe de belles lois....protection des loups...obligation aux bergers d'avoir des chiens qui malheureusement ont une certaine propension à protéger les moutons qui leur sont confiés....et qui parfois ont la dent dure sur les randonneurs de nos montagnes...
En conséquent il faut choisir : soit le loup libre de repeupler nos montagnes mais aussi de nombreuses espèces aptes à le nourrir...autrement il descendra toujours plus bas pour se sustenter et je ne pense pas que les habitants de nos villages (je ne parle pas des touristes) apprécieront d'entendre leur hululement le soir au fond des bois. Il faudra alors prendre conscience que nos amis randonneurs hésiteront sûrement à se promener dans nos massifs alpins de peur de croiser une meute de loups....à moins de les faire accompagner par les bergers reconvertis ainsi que leurs chiens patous.
Plus sérieusement si les moutons disparaissent que deviendront nos alpages ? Il ne faudra pas se lamenter sur une nature en friche !
La responsabilité incombe aux hommes et il est bien que nos élus aient pris hier une position claire et ferme. Espérons simplement que nos responsables nationaux en prennent aussi conscience et que les avocats maîtrisent leur verbe afin d'éviter que le 27 novembre (jour, je crois, de la décision judiciaire) notre ville redevienne la capitale du mouton !